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l'école de l'infanterie
Fondée en 1946, l'école de l'infanterie (EAI )est la maison mère de tous
les fantassins.A Montpellier,les futurs cadres de l'armée de terre y reçoivent une formation qui allie théorie, ou toute la dimension éthique
du métier des armes est prise en compte, et pratique, avec des entraînements sur des moyens de simulation modernes et des exercices sur le terrain.
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gendarme réserviste
I] Les principes de la PMG

1- Qu’est-ce qu’un PMG ?

Une PMG, Préparation Militaire de Gendarmerie, est une formation qui vous permettra d’acquérir les rudiments du métier de gendarme pour participer à un service d’ordre (événement sportif), effectuer des patrouilles de surveillance et aider les personnes en détresse (montagne littorale, accidents de la circulation)

Les formulaires d’inscription sont à retirer auprès des brigades territoriales ou des centres d’information et de recrutement.

Les sessions sont organisées au plus près de votre lieu de domicile par périodes bloquées d’une semaine pendant les vacances scolaires. Le cycle complet comporte trois semaines de formation effective, La durée totale de la formation étant de 15 jours. Cependant, à l’appréciation du commandant de groupement, directeur de formation, la session de formation peut-être bloquée les 15 jours de suite, durant les grandes vacances.

2- Pourquoi faire une PMG ?

La PMG peut vous permettre d’entrer dans la réserve opérationnelle de la gendarmerie. Ce qui vous donnera accès au travail de gendarme durant des périodes de 30 à 90 jours par année civile. Durant ces périodes, vous effectuerez le même travail qu’un gendarme d’active, et par conséquent, vous aurez la possibilité de monter en grade et d’exercer les responsabilités correspondantes. Le but de la réserve est de renforcer les brigades lors de grosses manifestations, de grosses catastrophes et même lorsque les effectifs sont insuffisants pour faire vivre une brigade, notamment durant les périodes estivales.

3- Les conditions de recrutement

Pour pouvoir postuler à un PMG, il faut :

- Etre de nationalité française
- Avoir entre 17 et 30 ans
- Avoir satisfait aux obligations du service national ou avoir suivi le JAPD
- Avoir une bonne aptitude physique, mesurer au moins 1m70 pour les hommes, et 1m60 pour les femmes
- Etre de bonne moralité

C’est important. La formation militaire c’est aussi une vie d’épreuves sportives permanentes.|
II] La formation

1- Ecole d’intervention professionnelle (EIP)

La formation sur l’intervention professionnelle regroupe toutes les tâches indispensables au gendarme pour pouvoir exercer sa profession. Lors de votre affectation en brigade, vous serez probablement amenez à répondre au téléphone, accueillir une personne, faire une patrouille, contrôler des individus, procéder à une arrestation, surveiller un bâtiment, bref... Toutes les tâches d’un gendarme d’active. Et c’est avec cette formation très importante que vous parviendrez à connaître les rudiments du métier de gendarme, et que vous serez aptes à servir au sein d’un brigade.

2- Ecole d’intervention tactique (EIT)

La formation sur l’intervention tactique est principalement centrée sur les comportements à avoir en cas de combat militaire à proprement parlé. Cette formation vous enseigne les actes réflexes (s’orienter, observer, progresser, se protéger, se camoufler, désigner un objectif, apprécier une distance, connaître son arme, communiquer, rendre compte, etc...) et les actes élémentaires du combattant (se déplacer, se poster, savoir se servir de son arme, etc...). Elle vous apprend également les principes d’un binôme, et du travail en binôme. Cette formation est essentiellement dispensée en pratique, comme l’EIP d’ailleurs, et demande donc un travail assez conséquent sur le terrain.

3- Instruction sur le tir et l’armement (IST)

Comme vous l’aurez deviné, cette formation est composée de séances de tir (précision et riposte / intervention) à balles d’exercice, et à balles réelles. Vous apprendrez à canaliser le stress afin de faire des bons tirs. Vous apprendrez également comment fonctionne l’arme, le PA MAS G1S, Pistolet Automatique Manufacture des Armes de St Etienne Gendarmerie 1er modèle, Sécurisé (appelé plus couramment le MAS G1), démontage, nettoyage et remontage, connaissance des pièces, etc...

Durant la formation, chaque élève tirera 50 cartouches au total, tirs de précision et de riposte confondus. Les armes ne seront pas laissées aux stagiaires durant la formation, elles seront neutralisées et reconduites en fin de séance à l’armurerie.

4- Circulation (CIR)

Dans le cas de régulation de prévention ou d’accident, savoir faire circuler les véhicules est une manœuvre importante. Avec cette formation, vous apprendrez comment faire comprendre aux automobilistes ce que vous désirez, uniquement par les gestes, afin d’éviter l’accident. Lors de la régulation sur un carrefour ordinaire, l’apprentissage est essentiellement basé sur les gestes. Mais lors de régulations sur des lieux d’accident, il faut également savoir baliser le terrain par différent moyen, et savoir se protéger soi-même par les bandes réfléchissantes.

5- Transmission (TRANS)

Le moyen de transmission principal dans la gendarmerie est le réseau "RUBIS". Durant les cours sur les transmissions et télécommunication, vous apprendrez comment fonctionne le réseau, à vous servir du matériel RUBIS, comment construire son message et comment le camoufler. Vous serez également formé sur le vocabulaire et l’alphabet phonétique utilisé lors des transmissions.

6- Règlement de discipline générale (RDG)

Cette partie de la formation est également très importante, puisque c’est par votre connaissance du règlement que vous aurez un comportement exemplaire aux yeux des autres gendarmes et même des civils. Le RDG est constitué des règles de vie des gendarmes, et il concerne par exemple, le port de l’uniforme (ou, quand, comment, etc...), le salut (ou, quand, comment, etc...), La hiérarchie militaire, l’exercice de l’autorité, etc... Ce règlement est très important, mais il est acquis presque par réflexe, au fur et à mesure de la formation.

III] L’aboutissement

1- Brevet de Préparation Militaire de Gendarmerie

A l’issu de la formation, des examens sont pratiqués afin de vous donner des résultats. Il y a un controle continu sur la durée de la formation, pour votre attitude, et les examens pour vos connaissances ! Si vous êtes recus, il vous sera remis un dîplôme, le brevet de préparation militaire, avec lequel vous pourrez postuler pour entrer dans la réserve !

2- Entrée dans la réserve

Avec votre brevet, vous pourrez vous présenter au groupement de gendarmerie de votre département, ou vous pourrez proposer vos services en tant que réserviste ! A l’issu, vous serez inscrit, et donc opérationnel pour une durée de 30 à 90 jours par an !

3- La PMSG

La Préparation Militaire Supérieure de Gendarmerie. C’est cette préparation qu’il faut faire afin de rentrer dans la réserve en tant qu’officier directement ! Pour cela, il faut ls même conditions que la PMG, mais il faut avoir le Bac, ou alors, avoir obtenu des résultats remarquable lors de la PMG. La session PMSG a lieu, elle sur une période d’un mois, en septembre, en région parisienne.

Si vous voulez plus de renseignement, contacter votre groupement de gendarmerie, ou allez voir sur le site de la gendarmerie ou alors sur le site non-officiel des réservistes :

- http://www.defense.gouv.fr/gendarmerie
- http://www.reservistes.com/

A bientôt peut-être !

Un réserviste de la gendarmerie...

Par Aymeric Prost
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19 janvier 2008

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volontaire dans la gendarmerie
Devenir gendarme adjoint volontaire (APJA)
Gendarme adjoint en surveillance

Un gendarme adjoint APJA (agent de police judiciaire adjoint) n'est pas un gendarme de carrière : il seconde les sous-officiers de Gendarmerie. Il est recruté pour une durée déterminée qui ne peut excéder cinq ans. Chaque année, son contrat peut être renouvelé (si les deux parties le souhaitent) ou non. C'est en quelque sorte une façon de rentrer en Gendarmerie par la "petite porte" et c'est aussi l'occasion de mieux connaître le métier de Gendarme.

Devenir GAV est une bonne façon de mettre un pied dans la gendarmerie sans prendre un engagement à vie. Il est en effet difficile de revenir en arrière quand, étant sous-officier, on constate que l'on s'est trompé de carrière : ayant une place sûre, il n'est pas évident d'y renoncer pour une situation plus précaire ou un emploi moins bien rémunéré. Avec le recrutement GAV, vous avez l'opportunité de découvrir la Gendarmerie, vous pouvez vérifier que cela correspond à vos attentes, tout en ayant la possibilité de ne pas renouveler le contrat à la fin de chaque année.


Tout candidat, quelle que soit la voie choisie, doit, d'une part, être de nationalité française et, d'autre part, être en règle au regard des dispositions du Code du service national.
Cette page présente les principales conditions de recrutement. Il n'en demeure pas moins indispensable de se rendre dans un Centre d'Information et Recrutement ou dans une brigade de Gendarmerie.


Pour devenir Gendarme Adjoint Volontaire (APJA), il faut :

* jouir de ses droits civiques et être de bonne moralité
* avoir une taille minimale de 1,70 m pour les hommes et 1,60 m pour les femmes
* avoir 17 ans révolus et moins de 26 ans à la date de dépôt de la candidature
* être reconnu apte physiquement par un médecin servant dans la Gendarmerie
* ne pas avoir échoué 3 fois aux épreuves de sélection
* réussir les épreuves de sélection.

Il est plus facile de devenir GAV que de rentrer en école de sous-officiers de Gendarmerie : les épreuves sont moins sélectives et il y a moins de tests psychotechniques (mais cela ne signifie pas pour autant que c'est facile). Lorsqu'un candidat est jeune (moins de 20 ans), les tests psychotechniques de sous-officier de Gendarmerie sont un obstacle plus difficile à franchir : la maturité, le sens des responsabilités, etc. sont des qualités recherchées par la Gendarmerie mais que l'on acquiert avec le temps et l'expérience professionnelle. D'ailleurs, devenir GAV, ce peut être votre première expérience professionnelle.

Après réussite de ces épreuves, vous serez affecté en école, à Chateaulin (29), Chaumont (52), Montluçon (03) ou à Tulle (19), pour suivre une formation rémunérée initiale de 13 semaines. Une formation complémentaire de 12 semaines vous sera ensuite dispensée dans votre unité d'affectation.
Les épreuves du concours de Gendarme adjoint volontaire (APJA)
Véhicule rapide d'intervention

Le recrutement des gendarmes adjoints volontaires (agents de police judiciaire adjoints) est moins sélectif que celui des sous-officiers mais les bases scolaires sont vérifiées, ainsi que les capacités de compréhension face à des situations concrètes :

* un test psychotechnique
* un questionnaire de connaissances générales (français, calcul, culture générale)
* un test de compréhension de textes
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Son histoire

L'histoire de la Gendarmerie

Les origines de la Gendarmerie ne sont pas définies précisément par les historiens. Elle a une longue histoire qui débute au Moyen Âge, en 1190, selon certains, avec la création des "sergents d'armes". D'autres estiment qu'elle est née au XIVème siècle durant la Guerre de Cent ans. Ses premiers ancêtres sont la Connétablie de France et la Maréchaussée. Le connétable déléguait ses pouvoirs à des maréchaux qui, eux-mêmes, s'appuyaient sur des prévôts. Il s'agissait déjà de forces militaires chargées de l'ordre public. Initialement, la Maréchaussée avait pour mission de contrôler les gens de guerre (notamment des mercenaires) qui, pendant et après la Guerre de Cent Ans, formaient, au gré des circonstances, des bandes de pillards qui dévastaient la France.

Sous l'Ancien Régime (du XVème siècle à 1789), deux dates importantes sont à retenir. En 1536, l'édit de Paris étend le domaine de compétences de la Maréchaussée : elle peut poursuivre d'autres criminels que les gens de guerre. La dualité (force militaire et civile) de la Gendarmerie naît peut-être à ce moment-là. En 1720, les maréchaussées sont réorganisées de manière plus rationnelle, les effectifs étant répartis en brigades sur tout le royaume. Néanmoins, ces effectifs sont relativement faibles puisque, en 1779, elle compte 3 300 hommes pour 26 millions de Français environ.

A la Révolution, en 1791, la Maréchaussée reçoit son nom actuel de Gendarmerie nationale et, afin de respecter la séparation des pouvoirs, elle perd les quelques missions de justice qu'elle détenait jusqu'alors. Dès sa création, elle est sous la tutelle du ministère de la Guerre (l'actuel ministère de la Défense). Sous le Consulat et l'Empire, la Gendarmerie occupe une place de premier plan dans le dispositif militaire de Napoléon Ier ; en effet, elle dispose à cette époque d'une Inspection générale (l'ancêtre de la DGGN) qui fut supprimée après la fin de l'Empire (sous la Restauration, en 1815). Entre 1815 et 1848, le pouvoir royal se méfie de cette institution issue de la Révolution et considérée comme étant bonapartiste. Elle revient en grâce sous Napoléon III (et aussi sous la IIIème République) : les effectifs sont augmentés ; son caractère militaire est réaffirmé. La Gendarmerie s'organise peu à peu mais il faut attendre la fin de la Première Guerre mondiale pour qu'elle prenne véritablement son essor. C'est d'ailleurs à cette époque que des forces de Gendarmerie mobile sont créées. En 1920, une direction autonome de la Gendarmerie est créée au sein du ministère de la Guerre.

L'occupation, pendant la seconde guerre mondiale, est, pour la Gendarmerie, comme pour toutes les autres institutions, une période délicate. L'institution, dépendant du régime de Vichy, est contrainte de collaborer avec l'occupant. Toutefois, on assiste, en de nombreux lieux en France, à des actes de résistance de la part de gendarmes et d'officiers. Dans les années 70, la Gendarmerie se modernise avec, entre autres, la création des brigades de recherches (BR), du GIGN et une féminisation des effectifs.

A partir de 2002, sans perdre son statut militaire, la Gendarmerie se rapproche du Ministère de l'Intérieur et, en 2009, la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale quitte le Ministère de la Défense pour se rattacher au Ministère de l'Intérieur où elle rejoint la Police nationale et les sapeurs-pompiers. Cette évolution suscite d'ailleurs de nombreuses interrogations de la part des gendarmes qui attachent beaucoup d'importance à leur statut militaire.
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L'organisation de la Gendarmerie

L'organisation de la Gendarmerie

A sa tête se trouve la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale (DGGN). La Gendarmerie est essentiellement constituée de la Gendarmerie départementale (protection des personnes et des biens, police judiciaire) et de la Gendarmerie mobile (chargée du maintien de l'ordre) mais aussi de forces complémentaires (garde républicaine, GIGN, etc.).
Depuis 2009, elle dépend essentiellement du Ministère de l'Intérieur.
La Gendarmerie départementale (GD)

C'est la Gendarmerie que l'on rencontre au quotidien. Elle remplit des missions très variées comme l'assistance et le secours, le contrôle de la circulation routière, les enquêtes judiciaires, etc. Dans le cadre de ses missions de police administrative, elle participe à la prévention des troubles à l'ordre public. Son organisation est calquée sur l'organisation administrative de la France.
Gendarme départemental en patrouille

La région de Gendarmerie départementale correspond à la région administrative.
Le groupement de Gendarmerie départementale correspond au département.
La compagnie de Gendarmerie départementale correspond à l'arrondissement .
Enfin, les unités de base de la Gendarmerie départementale sont les brigades territoriales (BT), à l'échelle du canton, qui fonctionnent de manière autonome ou qui sont regroupées en communautés de brigades (COB).

Pour assurer ses missions, la Gendarmerie départementale dispose d'unités spécialisées :
- un Peloton de Surveillance et d’Intervention de la Gendarmerie (PSIG) par compagnie qui vient en renfort des brigades, pour augmenter le nombre de patrouilles affectées à la surveillance générale ou pour faire face à des situations particulières (interpellation de malfaiteurs, accidents, etc.).
- un Escadron Départemental de Sécurité Routière (EDSR) par groupement (composé entre autres de motards) chargé de la surveillance du réseau routier ;
- des unités de recherches (Brigades de Recherches au niveau des arrondissements, Brigades Départementales de Renseignements et d'Investigations Judiciaires au niveau des départements et Sections de Recherches au niveau de la cour d'appel) constituées d'officiers de police judiciaire et chargées exclusivement de missions de police judiciaire (opérations de police technique, enquêtes importantes concernant la moyenne et la grande délinquance, etc.).

Des réservistes de la Gendarmerie départementale participent aussi au quotidien au renforcement des unités de Gendarmerie départementale.
La Gendarmerie mobile (GM)
Gendarme mobile

Elle a pour rôles le maintien et le rétablissement de l'ordre public (par exemple, c'est principalement la Gendarmerie mobile qui intervient lors des manifestations) mais aussi la sécurité générale (lutte contre la délinquance, recherches, etc.). Ses unités de base sont les escadrons, au nombre de 123.
A l'échelon hiérarchique supérieur se trouvent les groupements de Gendarmerie mobile, composés de 4 à 7 escadrons, qui sont eux-mêmes regroupés dans le cadre des sept zones de défense qui découpent le territoire métropolitain. On distingue la Gendarmerie mobile de la Gendarmerie départementale grâce à la couleur des galons de leurs personnels : galons jaunes en GM, galons blancs en GD.
La Garde républicaine

Implantée en région parisienne, la Garde républicaine est constituée d'un régiment de cavalerie et de deux régiments d'infanterie, comprenant un escadron motocycliste (c'est-à-dire des motards). Elle comprend aussi un choeur et un orchestre.
Elle remplit des missions de sécurité et d'honneur au profit des instances gouvernementales et des hautes autorités de l'État.
Le GIGN

Le Groupe d'Intervention de la Gendarmerie Nationale a été créé en 1974. Le GIGN est une unité d'élite. Les missions du GIGN sont la lutte antiterroriste (par exemple la libération des passagers de l'Airbus pris en otage par le GIA, à Marignane, en 1994), la neutralisation de forcenés et l'arrestation de personnes dangereuses.
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Quelque métier de la gendarmerie

Quelques métiers offerts par la Gendarmerie

La Gendarmerie est une institution qui remplit des missions très variées. Elle propose donc une palette de métiers ou de spécialités très large. Voici quelques-uns des métiers ou corps qui sont accessibles dans le cadre de la Gendarmerie.


Les gendarmes mobiles

La Gendarmerie mobile attire beaucoup les jeunes gendarmes car elle permet de "bouger".


Le GIGN : Groupe d'Intervention de la Gendarmerie Nationale

C'est l'unité d'élite de la Gendarmerie.


Les motards de la Gendarmerie

Les fans de moto peuvent allier leur passion et un métier valorisant.


Les Pelotons de Gendarmerie de Haute Montagne (PGHM)

Les unités de Gendarmerie qui interviennent en montagne.


Les maîtres-chiens

Les maîtres de chiens de la Gendarmerie.


La Garde républicaine

La Garde républicaine, ses régiments de cavalerie et d'infanterie et ses formations musicales.
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hommage aux heros
Je rend hommage à tout les sapeur Pompiers de France, mort au feu.
Votre courage et votre grand cœur nous donnent du boum boum dans notre vie , sachant que des qu'il à une personne a secourir vous répondez toujours présent,des qu'il à un incendie vous êtes encore la ! ce nais pas un ordre qu'ont vous dit ni une contrainte c'est votre passion d'exercer ce métier remplit de courage et votre cœur qui vous guident est sa nous civil jamais nous pourrons vous remercier assez . Toi héros, toi pompier , merci de votre bravoure . Charavin Cedric.
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contrôle routier
scoopeo
Le Comité interministériel de la sécurité routière du 13 février 2008 a défini la politique du gouvernement en matière de sécurité routière pour l'année 2008 et jusqu'à l'horizon 2012. Les mesures et décisions prises agissent sur tous les aspect de la sécurité routière: le comportement du conducteur et de son entourage (éducation routière, prévention, contrôle et sanction), le véhicule, l’infrastructure. Elles sont destinées à faire reculer les principaux facteurs de risque routier : alcool, vitesse, ceinture de sécurité, téléphone portable, etc.

Les principales mesures prisent concernant les contrôles routiers

Même si l'alcool est redevenu la première cause de mortalité sur les routes, la sécurité routière estime que "20 % environ des vies pourraient encore être sauvées si tous les conducteurs respectaient les limitations de vitesse. Cette marge rend nécessaire de persévérer dans la lutte contre les excès de vitesse qui, de surcroît, contribue à un meilleur développement durable". C'est pourquoi le Comité interministériel de la sécurité routière décide de déployer 500 dispositifs de contrôle automatisé chaque année de 2008 à 2012, principalement pour faire respecter les limitations de vitesse (radars fixes et mobiles), mais aussi en diversifiant la nature des infractions constatées (franchissement des feux rouges, non-respect des distances de sécurité en tunnel, contrôle des vitesses moyennes).

Pour une meilleure efficacité des contrôles routiers aléatoires (alcool, radar mobile, ceinture, téléphone au volant, etc.), des plans départementaux de contrôles routiers vont être mis en place dans chaque département pour des contrôles mieux ciblés en fonction des enjeux locaux de sécurité routière notamment des lieux et heures des infractions les plus dangereuses et des comportements les plus graves responsables d’accidents. Ils seront élaborés et mis en oeuvre sous l’autorité du préfet, conjointement avec le procureur de la République.

Les conducteurs de véhicules immatriculés à l’étranger sont responsables du quart des infractions relevées par les radars automatiques mais comme ce sont des contrôles sans interception, ces infractions ne sont pas sanctionnées car il est très difficile de retrouver le propriétaire du véhicule. Pour mettre fin au sentiment d’impunité des automobilistes étrangers qui ces infractions ainsi modifier ainsi leur comportement la Commission européenne devrait adopter le 27 février 2008 un projet de directive permettant l’échange de données entre pays européens concernant les fichiers nationaux d’immatriculation des véhicules. La France mettra ce texte à l’ordre du jour des discussions du Conseil lors de sa présidence de l’Union européenne au second semestre 2008.

Pour combattre la conduite après usage de stupéfiants, l'actuel dépistage urinaire jugé trop contraignant sera remplacé par un test salivaire dont les premiers kits seront mis à disposition des forces de sécurité au cours de l’été. Ces contrôles sont donc appelés à se développer et à être encore plus sanctionnés puisqu'une peine complémentaire obligatoire de confiscation du véhicule en cas de récidive de conduite sous l'influence de stupéfiants sera appliquée.

D'autres mesures de confiscation obligatoire du véhicule seront instaurées :

* Dès le premier délit pour conduite sans permis (mesure de rétention ou décision de suspension, d'annulation, d'invalidation ou d'interdiction d'obtention du permis)
* En cas de récidive d’excès de vitesse de 50 km/h ou plus
* En cas de récidive de conduite sous l’empire d’un état alcoolique



Enfin, pour réprimer le trafic de points de permis une incrimination pénale spécifique sera mise en place. Ainsi, l’achat ou la vente de points sera passible de 6 mois d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. Cette peine sera portée à 12 mois d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende si les faits sont commis via un réseau de télécommunication (Internet) ou par publicité. En l’absence de contrepartie financière, le trafic de points de permis sera sanctionné par une contravention de cinquième classe et une amende maximum de 1500 euros.
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